samedi 8 mars 2008

Frère et soeur

Je m’appelle Frédéric, j’ai toujours été un voyeur averti depuis ma plus tendre enfance, j’espionnais déjà mes grandes soeurs, Lucie (19 ans) et Marie (17 ans), et ma mère, Christiane, dans la salle de bain ou dans leurs chambres... Il faut dire qu’elles ont toutes les trois un corps à damner un saint. Je me cachais dans les armoires ou bien sous leurs lits. Lorsqu’elles dormaient, je sortais, soulevais leur couverture et les matais pendant un moment. Lorsque j’achetai mon premier appareil photo, il ne servait pratiquement qu’aux clichés de mes soeurs et de ma mère. Je ne m'étais encore jamais fait prendre une seule fois. Je connais beaucoup de coins appropriés pour prendre des photos sous les jupes des filles. Je conserve dans ma chambre une impressionnante collection de photos en tous genres... Malheureusement, une de mes soeurs est venue chercher quelque chose dans ma chambre un jour et a découvert par hasard la cachette derrière une planche dans le fond d’un meuble. Elle a laissé un mot :

"Je ne te connaissais pas sous ce jour, Fred... Petit cachottier !"

Je sais qu’il s’agit d’une de mes soeurs car ce n’est pas l’écriture de ma mère. Mais mes deux soeurs ont tout à fait la même écriture. Ça m’embête vis-à-vis d’elles car on s’entend super bien et je ne voudrais pas qu’elles me prennent pour un obsédé incestueux. J’observe le comportement de Lucie et Marie depuis quelques temps et je ne vois aucune différence. Ça m’énerve profondément de savoir que quelqu’un sait mais que je ne sais pas de qui il s’agit...


Il est presque 11 heures et demie, Lucie, Marie, ma mère et moi regardons la télé.

- Ce film est chiant, je vais me coucher, dit Marie.
- Moi aussi, dit ma mère.
- Bon, hé bien bonne nuit.
- Bonne nuit Frédéric, bonne nuit Lucie.


On continue à regarder le film à deux. Lucie se lève et vient se mettre à mes côtés sur le sofa. Elle est en chemise de nuit. Le film est en effet très chiant mais je n’ai pas sommeil. Lucie s’empare de la télécommande et zap sur toutes les chaînes. À mon grand étonnement, elle s’arrête un moment sur un film de cul, puis continue à changer les postes.

- Bon, je crois qu’il n’y a que ça de bien pour le moment.

Je crois qu’elle revient sur le film de cul. Je me pose des questions. À l’écran, un grand mec musclé défonce la chatte d’une belle brune en lui malaxant les seins. C’est alors que ma soeur lève une jambe et pose son pied sur le sofa, laissant apercevoir son entrejambe et sa fine toison brune. Je n’en crois pas mes yeux. Le fait-elle exprès ? Sa main glisse le long de sa cuisse pour se poser sur son pubis, elle le caresse lentement. Je vois nettement ses lèvres s’écarter de plus en plus. Elle ne semble pas se soucier de ma présence. Elle introduit d’un coup son index, le ressort et se le met en bouche avant de le replonger plus profondément dans sa chatte. Elle met un autre doigt, puis un autre, puis encore un troisième et se met à aller de plus en plus vite. Elle parcourt son corps de son autre main. Après un moment, elle se cambre d’un coup et pousse un doux gémissement de plaisir. Elle se remet lentement de ses émotions, réajuste sa robe de nuit et se lève. Elle jette un coup d’oeil en direction de mon sexe et aperçoit une belle bosse, elle me sourit puis s’en va vers sa chambre.

- Bonne nuit Fred... Fais de beaux rêves...
- Bo... Bonne nuit Lucie...

Je suis encore sous le choc ; ma propre soeur se touche à côté de moi devant un film de cul. Je vais vite me branler avant de me coucher mais je mets un temps fou à pouvoir m’endormir...


Le lendemain matin, lorsqu’on déjeune, Lucie me lance de brefs regards avec une drôle de lueur dans les yeux. Elle me fait du pied sous la table depuis le début du petit déjeuner. C’est forcément elle qui a découvert mes photos. Ma mère part tout de suite après pour travailler et Marie va dans sa chambre. Nous sommes de nouveau seuls à table. Ma soeur aînée se lève et dans son élan fait tomber un couvert par terre. Elle est dos à moi et se baisse pour le ramasser, m’offrant sa belle chatte sous mon nez. Elle reste un moment dans la même position puis se relève. Décidément, Lucie a décidé de m’allumer et c’est réussit...


Nous vaquons ensuite à nos occupations, j’écoute de la musique dans ma chambre en regardant quelques-unes de mes dernières photos : une fille en string rouge, une en string noir avec des porte-jarretelles, une autre sans culotte (ça c’est rare sous une jupe). Marie est sortie de la douche et je vais la remplacer. Je me savonne tranquillement lorsque Lucie entre précipitamment dans la salle de bain, en prétextant chercher son miroir de poche. Elle me regarde avec insistance avant de sortir, un sourire aux lèvres... Cette entrée de la belle brune m’a mit en émoi. Et c’est avec une érection grandissante que je continue de me laver.


Le soir, c’est au tour de Lucie de prendre son bain, et je décide de refaire le même coup qu’elle. J’ouvre la porte d’un coup sec et je la vois totalement nue dans l’eau.

- Je cherche ma brosse à dent, dis-je.
- Cherche à ton aise, dit-elle tranquillement.
- Ça ne te gêne pas ?
- Pas du tout, au contraire... Reste un peu.
- Euh...
- Alleeeez, s’il te plaît...
- Bon, si tu veux...

Je m’assieds à côté de l’évier et je la regarde se laver. On parle alors de l’école et de bêtes trucs comme ça.

- Viens me rejoindre, dit-elle, il y a de la place pour deux.
- Je me suis déjà lavé ce matin, et puis... Ça me gêne.
- Allez dis, je suis ta soeur quand même. Viens !
- Bon...


Je me déshabille et la rejoint dans l’eau. Elle me dit alors :

- Ta queue est encore plus impressionnante de près.

Je ne peux m’empêcher de rougir et je me remets à bander, ça la fait rire. On ressort enfin, ruisselants d’eau. Je m’assieds sur le bord de la baignoire. Elle est magnifique. Je bande de nouveau, mais cette fois elle le voit et s’approche de moi. Elle est tout contre moi. Elle s’empale d’un coup sur mon sexe dressé et reste assise sur moi en me fixant dans les yeux. Nos bouches s’approchent et nos lèvres se soudent pour un long baiser ardent. Elle fait des va-et-vient de bas en haut. Je lui lèche les tétons avec avidité, mes mains serrées contre ses fesses fermes. Elle va de plus en plus vite, nos langues se cherchent et se rencontrent. Elle m’entoure dans le tendre étau de ses jambes. Dans un ultime cri de bonheur, nous montons tous deux au septième ciel. Une grande quantité de mon sperme chaud se répand en elle. Elle me serre dans ses bras, nos corps ne font qu’un dans un puissant orgasme. Je reste en elle pendant quelques minutes, l’un contre l’autre. Elle se retire et ramène sa tête vers mon sexe dans lequel la flamme s’éteint petit à petit. Elle ne tarde pas à la raviver en un coup de langue. Lucie nettoie mon sexe de haut en bas sans perdre une seule goutte du jus de nos deux corps. Ses yeux s’illuminent en voyant mon membre se redresser et elle l’avale jusqu’au plus profond de sa gorge. Mes couilles roulent entre ses doigts experts. Elle me donne un dernier coup de langue avant de me dire :

- Fred, ça te dit de me sodomiser ?
- Je ne l’ai jamais fait de ce côté là.
- Moi non plus. Alors ?
- Il y a un début à tout...

Elle se retourne et se penche en avant, les mains posées sur le bord de l’évier, m’offrant sa croupe et les belles rondeurs de ses fesses. Je m’empare du savon que je répands sur son anus. Mon index force doucement son petit trou serré. Elle se penche encore plus en avant, m’invitant à commencer. Mais j’introduis d’abord un deuxième doigt, son anus se dilate de plus en plus... C’est bon maintenant. Je me présente derrière elle et la pénètre lentement, le diamètre de son trou ne fait pas encore celui de ma queue. Elle grimace un peu de douleur, je la caresse tendrement pour la rassurer. Après quelques allers et retours, ça commence à aller plus facilement et elle commence à y prendre goût. Elle gémit de bonheur au rythme de mes coups de hanches. Elle hurle presque son plaisir. Mais cette fois-ci, j’atteins l’orgasme avant elle et je dois vite me rattraper pour qu’elle ne perde pas son plaisir. Je passe sous elle et commence à la lécher à coups de langue vigoureux. Je continue à lui titiller le cul de mes doigts. Elle presse ma tête contre sa toison. Ses doigts rejoignent ma langue dans sa chatte toute ouverte. Elle se cambre et hurle à pleins poumons son voyage au septième ciel. Elle me remercie d’un long baiser juteux.

- Hé bien, mon frère, tu sais t’y prendre toi... On remettra ça hein ?
- Ça c’est certain, je n’aurais jamais pensé prendre autant de plaisir avec toi.
- Bien, maintenant tu pourras me prendre en photos sans devoir te cacher.
- Euh... Bien sûr !
- Parfait.

Nos aventures se multiplient depuis ce jour, on fait des photos d’elle et il se trouve qu’elle a aussi un fameux penchant pour le voyeurisme. Nous sommes maintenant deux pour immortaliser les dessous des jupes...

Frédéric